Chaque année, les flux financiers illicites, dont la corruption est une composante majeure, font perdre environ 88,6 milliards de dollars (3,7 % de son PIB) à l'Afrique. La lutte contre ce fléau est un effort collectif et le secteur privé a un rôle majeur à jouer dans la promotion d'un environnement économique prospère et d’un développement durable du continent.